Voici quelques questions qui nous sont posées régulièrement:
Si je fais mon baptême, suis-je plus susceptible que les autres de rater mon année ?NON, ce n’est pas le baptême en lui-même qui fait que certains ratent leur année.
Le baptême en soi, c’est à dire les bleusailles et le parcours final, ne dure que 2 mois, de fin septembre à fin novembre.
Après cela, il vous reste largement le temps d’étudier pour les passages de janvier, en admettant que vous n’ayez pu le faire avant. Cependant, ce ne sont pas 2 soirées d’occupées par semaines qui nuiront à vos études.
Au contraire, rencontrer des capés et des assistants plus âgés et qui ont déjà réussi peut être très intéressants au niveau des conseils et des tuyaux qu’ils pourront vous prodiguer sur votre parcours scolaire tout au long de l’année.
NOTEZ aussi que le bleu dont le comité jugerait que, par ses trop fréquentes absences au cours, il met son année en danger, se verra une première fois réprimandé et pourra même éventuellement être viré du baptême.
Le baptême risque-t-il de faire de moi un alcoolique notoire ?Là encore, NON.
Certes, l’alcool coule à flot à certaines activités, mais pas toujours.
De plus, nous ne soûlons pas les bleus durant les bleusailles, tout juste quelques chopes pour égayer un peu.
Si certains ne souhaitent pas boire de substances alcoolisée, pas de problème, le comité fournira une boisson de substitution.
Si je commence et que j’abandonne, je serai montré du doigt et dénigré par les autres.Hors de question !
Le baptême est un choix et on ne force personne. Si l’expérience ne vous a pas plu, libre à vous d’abandonner sans passer pour le paria de la troupe. Le comité garde l’esprit ouvert.
Faire son baptême n’est pas le seul moyen de faire des nouvelles connaissances.Bien sûr ! Et heureusement !
Mais avec ses amis là, ses co-bleus, on partage des choses sans doute plus fortes qu’avec les « simples amis » d’auditoire, car on a vécu des épreuves plus difficiles.
De plus le comité tente au maximum d’instaurer entre les bleus un lien de solidarité fort, qui espérons-le, durera pour longtemps.
Baptême rime avec ridicule et humiliation.Non, le baptême rime avec HUMOUR et SECOND DEGRE.
Certes les comitards et les assistants ne seront pas toujours tendres, oui souvent il faudra apprendre à se taire, ou à affronter les représailles de sa rébellion, mais tout cela se déroule dans le respect de la personne et dans le seul but de l’initiation.
Sachez qu’une fois les bleusailles terminées, c’est avec plaisir que nous prendrons un verre en votre compagnie, mais une penne ça se désire, ça se mérite, ça se gagne et le folklore ça s’apprend.
Le baptême n’est qu’une suite d’à-fond et de gerbes de vomis qui mène à l’obtention d’un diplôme de guindaille et d’une casquette un peu kitsch.NON, le baptême est une initiation au folklore estudiantin liégeois, à travers ses comités, ses chants, ses hauts lieux folkloriques et leur histoire.
L’histoire de la penne est intimement mêlée à l’histoire de la ville de Liège, et à celle de ses institutions, elle est un symbole séculaire. C’est tout cela que nous vous proposons de découvrir.
Je n’ai pas de kot, je devrai abréger mes activités ou le verre en fin de bleusaille pour reprendre mon bus.La base de la solidarité étant l’hospitalité, il y aura toujours moyen pour ceux qui le souhaitent de dormir/cuver chez l’un ou l’autre comitard.
Le baptême coûte cher.En effet le baptême n’est pas gratuit : il faut payer les boissons, organiser les activités, acheter le matériel, etc.
Mais le bleu n’est pas la vache à lait du comité, sa participation est toujours calculée pour être réduite au minimum, le reste étant financé par l’argent des soirées que nous organisons.
De plus, les parrains et marraines prennent le plus souvent à leur propre charge une partie des dépenses du bleu (ceci étant recommandé mais pas obligatoire, précisons-le)
Le baptême détruit les couples et dévoie les âmes sages.NON !
Le baptême n’a rien de sexuel ! Si bien sûr, il est maintes fois fait référence au sexe dans les jeux, les blagues, les chants, mais jamais personne n’est poussé ni obligé à des actes sexuels avec l’un ou l’autre baptisé.
Au contraire, les gens qui oseraient abuser de leur autorité de baptisé/comitard pour obtenir des faveurs particulières de la part d’un bleu/une bleuette sont clairement mal accueilli et leur attitude publiquement réprouvée.
Une fois ivre, je ne me contrôle plus, j’ai peur qu’il m’arrive quelque chose.S’il devait vous arriver qu’après une bleusaille vous nous rejoigniez au café et que vous abusiez sur la boisson, il y aura si possible toujours un assistant ou un capé pour vous ramener chez vous ou vous recueillir chez lui. Tant que faire se peut, on ne laissera JAMAIS un bleu ivre rentrer chez lui seul.
Avoir sa penne c’est entrer dans le monde très fermé des initiés, et dénigrer ceux qui voyagent nu-tête.La communauté des baptisés n’est pas une secte, nous continuons à apprécier les « fossiles ».
Si nous sommes fiers de notre couvre-chef, il ne nous cache pas moins la valeur des autres personnes.
Si d'autres questions vous venaient, n'hésitez pas à nous les poser, ce topic est fait pour ça et nous y répondrons avec plaisir
Merci à l'ancienne Cocochonne pour m'avoir fournit cette FAQ fortement utile !
n'est ce pas bande de merde )
Il faut mentionner ses sources ...
